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Monede moldoveneşti din colecţia Corneliu Secăşeanu / Monnaies moldaves de la Collection „Corneliu Secăşeanu”

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Excerpt L'article présent des monnaies moldaves de la Collection „Corneliu Secăşanu'', qui contient des monnaies de presque tous des princes moldaves (sauf Roman II et Bogdan II).
Les plus veilles sont des monnaies frappées par Pierre I - 18 exemplaires:
- 7 gros a sept fleurs de lys dans l’écu de revers (deux exemplaires, ayant â droit d'aurochs une rase, à gauche un croissant, Cinque exemplaires ayant à gauche une rase, à droite un croissant). Ces monnaies ont des signes monétaires dans la légende - au droit une rase après le nomme d'émetteur et deux points au fin de la légende; au revers, des fleurs de lys au-dessus de l’écu et à cote de lui; une seule pièce n'a pas aucun signe monétaire.
- 2 gros à six fleurs de lys (le type à un croissant à droite aurochs et une rase à gauche).
- un pièce a cinq fleurs de lys (un croissant à droite et une tige de lys héraldique à gauche), ayant des signes monétaires - au droit, un signe rudimentaire au fin de la légende, qui peut être une rase; au revers, au-dessus de l’écu, un signe monétaires peu visible, qui peut être un point; au fin de la légende sont places deux points.
- 7 gros a deux fleurs de lys: 5 exemplaires avec des légendes normales au droit – 2 d'entre eux ayant au droit une rase â droite et un croissant à gauche (une pièce a deux fleurs de lys de type florentin et une rase au commencement des légendes et une pièce a des fleurs de lys de type "sans pied" et un fleur de lys de même type au commencement des légendes), 3 exemplaires ayant les attributs placées inversement, les fleurs de lys étend des variantes du type florentin exécutées grossièrement; la légende commence à "l'invocatio". Deux pièces ont au droit la légende rétrograde (OVIOVIR), ayant comme des attributs un croissant â droite et une tige a lys héraldique rudimentaire au gauche; la légende commence avec une rase a cinq petits pétales.
- un faux monétaire d'après un gros a quatre petites fleurs de lys dans l’écu à fasces; au-dessus d’écu se trouve une fleur de lys rudimentaire, aussi comme celles d’écu. Les légendes s'efforcent de reproduire les légendes des gros â légende rétrograde. Le poids, 1,13 g, est spécifique aux gros de la première émission; la pratique de garder un correct poids étant présente aux gros dévalorises de la fin de la règne de Pierre I, aussi que aux monnaies faux.
Des pièces suivantes sont des émissions du prince Alexandre I Le Bon; la première pièce c'est un gros de type I, frappe pendant l'année 1399. Au droit est représentée la tête d'aurochs avec des attributs places a cote des yeux - â gauche le croissant, à droite la tige avec le lys héraldique rudimentaire. Au revers, les fleurs de lys de l’écu sont aussi rudimentaire représentes. Les suivantes trois monnaies appartiennent au IIIe type (la rase placée au-dessus de l’écu de revers): un double gros, un gros et un demi-gros. Le double gros et la pièce divisionnaire ont dans le deuxième quartier de l’écu sept fleurs de lys type "nœud de ruban" et le gros, une fleur de lys type "m à base"; à droite de l’écu sont des signes monétaires - la lettre R (pour le double gros) et un croissant (pour le gros). Pour la pièce de double gros et pour le gros on a mesure la quantité d'argent et on a établi la composition d'alliage, par la fluorescence des rayons X. Ainsi, la première pièce le graveur „type nœud de ruban") on a constaté un pourcent de 648% Ar, 5% Au, 4,5 % Sb, 0,8% Sn, 3% As et 18% Fe. Le gros (graveur „type m â base") contient 313% Ar, 1% Au, 4% Pb, Sn et Bi des traces, 32% Fe. L’analyse typologique a établi qu'on existe dème différents graveurs, identifies par deux manières de représenter les fleurs de lys - le premier (qui a frappé le double gros), nomme par nous „graveur nœud de ruban", le deuxième (l'auteur du gros), nomme par nous „graveur m â base".
Les suivantes pièces du prince Alexandre I appartiennent au type IV: sont trois doubles gros et trois pièces divisionnaires. On existe aussi deux graveurs: un, qui exécute avec finesse et précision, la tête aurochs étend place au-dessus de la barre d’écu; la deuxième, qui exécute plus schématiquement, au-dessus de la barre étant seulement les oreilles (les deux graveurs signales supra). On existe aussi des signes monétaires â cote d’écu - la lettre T et I au gauche, le croissant à droite et une croix aussi à gauche. On a analysé la quantité d'argent pour deux doubles gros et pour le demi gros. Un double gros, plus bien réalise (graveur „type nœud de ruban"), a des pourcents suivants: 150o/o AI, Au traces, 17,5 % Fer, 4% Sb, 0,7% Sn, 2% As. L’autre double gros (aussi graveur "type nœud de ruban") contient 430%0 Ar, 0,5% Au, 13% Fe, 0,5% Sb, As traces. Le demi gros (graveur "type m â base") a une composition d'alliage différentiel - 380% Ar, pas d'or et des autres éléments secondaires, seulement celui qui accompagne le minerai d'argent (15% Pb, cuivre pourcentage normale, 5% Fe). Les suivantes pièces d'Alexandre I sont 10 demi-gros type V qui pressentent au revers la lettre 51 placée â cote d’écu (8 pièces) ou ne pressentent pas des signes monétaires (2 pièces); pour toutes ces pièces les fleurs de lys sont "type nœud de ruban". Les dernières monnaies du prince Alexandre I sont deux demi gros type "croix â bras égales", qui ont au revers, entre les bras de la croix, croissant/étoile/couronne ouverte/lettre n. Pour ces pièces on a mesure la quantité d'argent et on a détecte les éléments qui composent l'alliage - 240% AI (un exemplaire) et 160% AI (l'autre exemplaire), la même pourcent de cuivre (740%), 0,8% Au et des traces, Sb, Sn, As, aussi des traces.
Dans la collection existent deux pièces du prince Hélie - un demi gros type IV (une rase au-dessus d’écu) et un gros type V1 (au droit, un cavalier grossièrement représente, avec un heaume ferme, considère par des numismates „heaume tête aurochs").
Le suivant est un double gros frappe par les princes associes Hélie et Etienne II. Au droit est place la tête d'aurochs, â droite la rase, â gauche le croissant. Au revers, dans le deuxième quartier de l’écu, sont sept fleurs de lys type „petite griffe"; au-dessus de l’écu est une couronne ouverte. Au revers on observe une sur frappe - un petit fragment d'une autre monnaie (dème fasces et une fleur de lys type „petite griffe"). La pièce suivante est un demi gros type I, avec une couronne ouverte au-dessus de l'écu; elle est très dégrade, incertaine; on peut être une émission d'Hélie, mais aussi d'Etienne II; la lettre du droite de l’écu (n ?), est présente sur les monnaies d'Etienne II. L’analyse de la composition de l'alliage a détecte 155% Ar, Au et Sn des traces, 1,2% Sb, 2,7% As - des pourcentages rencontres habituellement aux monnaies d'Etienne II.
Certainement, les monnaies frappées par Etienne II sont un gros type II et un demi-gros inédit, type IV. Le gros présente au droit, â droite de la tête aurochs, la rose a pétales et â gauche le croissant répandu. Au revers, au-dessus de l’écu, se trouve la lettre "n", â gauche de l’écu une lettre (probablement) frappé sur le cercle perle. L’alliage de cette monnaie contient 614% Ar, 362,5% Cu, 3,25% Au, 10% Pb, 4,75% Fe, 1%o Sb, 1%0 Sn, 2,5%0 As. Une autre pièce intéressante est un gros coupe â poids de un demi gros (il est dégrade et avec des dep0t corrosifs). Ainsi, le droit est anépigraphe, mais au revers, on peut voir un fragment de légende (MVLDA). L’analyse de l'alliage a constaté 330% AI, 608% Cu, Au et Sb des traces, 10% Pb, 1,5% Sn, 1,5% Fe, 1,5% Mn.
Une monnaie frappée certainement par Etienne II est un demi-gros sur frappe au droit – ici on voit la tête aurochs avec des cornes recourbais au dehors (type Alexandre I), des oreilles rhomboïdales (on se trouve aussi sur les gros d'Alexandre I, Hélie, Etienne II). Au-dessus de cette représentation on a frappé un écu et une massue précisément désignée (placée obliquement, inclinée â droite). La composition d'alliage est suivante: 1,23% Ar et 985% Cu, 2,5% Pb, 3,75% Fe, 3,17 % Sb, 2,8 % Sn, 1,5% As, 1% Bi. Les pourcentages sont caractéristiques aux monnaies du prince Hélie et Etienne II (princes associes), donc on a réutilise une matrice de revers d'Alexandre I, ou, la monnaie pouvait être une erreur de frappe du temps d'Etienne II, quand existaient beaucoup des types et des variantes qui gardaient des éléments artistiques de ses processeurs.
La collection détient seulement une pièce frappée par Pierre II - un gros type II (à une couronne ouverte au-dessus d’écu et une double fleur de lys dans le même l’écu, fascié). Au droit est représenté la tête aurochs, ayant â droite le croissant, â gauche une rase â pétales. Au revers est une sur frappe (quelques éléments du l'auroch du droit). Pour lui l'analyse fluorescente a établi la concentration suivante: 65% AI, 930% Cu, 4% Pb et 1% Sn.
Le suivant est un follaro Asprokastro, une émission locale de Cite Blanche (Cetatea Albă), pendant le règne du prince Etienne III Le Grand. La composition d'alliage, mesure pour la première fois, est: 986% Cu, 1,5% Sn, 3% As, 1,2% Mn, 4% Fe. Une récente étude sur le monnayage d'.Etienne Le Grand considère que cette émission appartient au temps de ce prince, pas au règne du prince Petit Alexandre (Alexăndrel).
La pièce suivante est un gros frappe par Pierre III Aron, type I b (au revers, deux épées croises dans l’écu et la lettre G au-dessus), la première émission de cet émetteur. La composition d'alliage, détecte: 115% AI, Traces d'or, 3% Pb, 1,2% Sb et 8,5% Fe.
La plus grande partie des monnaies de la collection appartiennent au prince Etienne III Le Grand - trois pièces de première émission (deux gros et un demi-gros) et trois pièces de la deuxième émission (aussi deux gros et un demi-gros).
Les monnaies de la première émission sont frappées avec un COIN correctement travaillée, a plusieurs détails; ces-ci sont tous de série (le croissant à droite, rose type 1 à gauche). A ces pièces on a mesure la quantité de métal précieux; un grand pourcentage d'argent (: 760%, 885% et 840%) et d'or (3,5%, 3,5% et 4%), du Pb, Sb, Sn et Bi en pourcentages normales.
Les trois pièces de la deuxième émission sont travaillées plus grossièrement, à une matrice peu détériorée. Au droit, la rose de droite, est de type 2 (pointue). Pour ces pièces n'ont pas analyse la composition d'alliage; le poids plus réduit (0,60 g, 0,66 g et o, 31 g), confirme les hypothèses sur la diminution pondérale en ce qui concerne cette émission.
Le suivant émetteur, Bogdan III, est présent dans la collection avec quatre gros types I; la dernière pièce est un gros type III (le soleil à droite et le croissant à gauche, et une lettre T au commencement de la légende). Bogdan III a utilisé pour la frappe de ses gros un alliage de 480-270% Ar et cuivre en pourcent normal pour cet alliage; la source du minerai avait de l'or (un pourcent réduit, entre 1% et des traces) et Sb, élément qui accompagne le minerai argentifère de Maramureş. L'alliage de la pièce type III est différente - on peut dire qu'il s'agit d'une monnaie falsifiée, qui ne contient pas d'argent (détecte un pourcent de 0,6%) et de l'or (donc une autre source), mais a une grand pourcent de Pb (54%) et Sn (175%).
La collection garde 11 monnaies frappes par le prince Etienne IV (Ştefăniţă) – 10 exemplaires type à (rose à droite aurochs, le croissant à gauche), la dernière pièce étant un gros type b (les attributs places inverse). L'analyse fluorescente a détecte entre 240 - 12% Ar et entre 450-8% Hg (peut-être qu'on a utilisé la technique d'amalgamation, ou les gros ont été urgente après la frappe par ce procède).
Les suivantes pièces sont: dinar frappe en 1562 par le prince Jacob Héraclide Despot et une akcè frappée en 1573 par le prince Jean Le Terrible.
Le siècle XVIIe est richement présente dans la collection - trois pièces â nomme du prince Istrate Dabija et 84 imitations et monnaies fausses (des solidi polonais, suédois) et des déchets monétaires). Ainsi, les monnaies de Dabija sont représentées par un galvanoplastique ayant comme model une plaquette monétaire (de la collection Moscou), ou est imprime un solidus type Daba (au droit un cavalier âge, chauve, barbu, avec une longue mante). La légende du droit est IO HAN ISTRAT--VV et celle de revers, SOLIDUSGIVI M 18. La deuxième galvanoplastique présente au droit un portrait différent - un cavalier jeune, a bouclé au front, sans mante; le nomme d'émetteur est écrit peu diffèrent - DHBISA ISTRAT VV au droit, SOLIDUS G R M 168, au revers. Si 168 de la légende du revers représentait l'an d'émission, on peut supposer que ses monnaies auraient frappées plus tard, étant posthumes ! (Peut-être par George Duca (1668-1672; 1678-1683), arrête par les turques qui ont trouvé sur lui des matrices pour la frappe des faux écus).
Les suivantes pièces de la collection sont les imitations, les faux après les solidi et les déchets monétaires. Les premiers sont deux solidi frappes par Jean Casimir, roi de la Pologne, travaille a deux matrices différentes. Les solidi les plus nombreux sont les solidi suédois - quatre solidi avec le nomme de roi Gustave Adolphe (une monnaie hybride (galvanoplastique), le droit Gustave Adolphe, le revers Christine, un faux grossier). Les plus nombreux sont les pièces frappées par la reine Christine – 31 exemplaires. II y a des émissions de la ville Riga (une seule pièce présent au revers I' emblème de Livonie, mais c'est improbable). Les auteurs considèrent que les solidi avec un monogramme grossier de Christine, dit „grand gerbe", ont été frappes a Suceava, étant des faux.
Les suivantes 8 monnaies sont des solidi avec le nomme du roi Charles II Gustave (remarquons une pièce hybride - le droit Christina, le revers Charles II Gustave), et neufs exemplaires des solidi de Charles X. Dans la collection se trouve seulement deux solidi prussiens, authentiques, frappes par Georg Wilhelm en 1627 et Friedrich Wilhelm en 1654.
Les dernières pièces de la collection présentée sont des déchets monétaires partialement ou totalement illisibles.
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  • Cercetări Numismatice: CN; XII-XIII; anul 2006-2007; seria 2006-2007
    • Cercetări Numismatice: CN; XII-XIII; anul 2006-2007; seria 2006-2007
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